Rhum Society 2021

Let’s Go pour le Rhum Society batch 2 du bar 1802. 


Le rhum Society est le premier salon privé de dégustation de rhum à Paris. Il est organisé par l’équipe du bar 1802 dans l’hôtel Monte Cristo. 

Le concept est vraiment cool ! Les chambres de l’hôtel Monte Cristo se transforment en lieux de dégustation exclusifs et confidentiels. Chaque maison dispose d’une chambre qu’elle personnalise à son image. C’est le bon moment de découvrir des marques que l’on ne connait pas, mais également de redécouvrir celles que l’on connait et de discuter avec les ambassadeurs des marques partenaires de l’événement. Sans oublier le plus important, le moment où les distilleries nous dévoilent leurs nouveautés. Mais attention nous disposons uniquement de 2h30, donc c’est relativement très court quand tu prends le temps de discuter avec tout le monde. 

Cette année le salon se déroulait sur deux week-ends, le 12 & 13 juin et le 19 & 20 juin.

J’ai pu participer au deuxième week-end et les maisons présentes durant ces jours-là étaient : Rhum JM, Bally, Confrérie du rhum, Bacardi, Famille Ricci, 1802, Rhum Clément, Karukera, Damoiseau, English Harbour, Maison La Mauny, Excellence rhum, Frère de la côte, Distillerie d’Ile de France, Rum Nation, On Ti Dousé, Mhoba, Boukman, Saint James, Père Labat, Dictador, Rivière du Mât, Clairin, Elixxirs, Depaz, Compagnie des Indes, Navi, National Rums of Jamaica. 

Bien évidemment, c’est compliqué de tous les faire, et on repartirait complètement déchiré et ce n’est pas vraiment le but de ce salon. L’objectif c’est vraiment la découverte, la convivialité et surtout le partage !  

Je vais donc vous raconter mon tour au rhum Society, quelles maisons j’ai visité, la raison, ce qui m’a intéressé, les nouveautés, bref je vais tout vous dévoiler. 

Alors quand je suis arrivé j’avais en tête des maisons que je voulais voir en priorité afin de découvrir leurs nouveautés et ainsi avoir la chance de les déguster. Ma liste précise était : Rhum JM, Bally, Confrérie du rhum, Famille Ricci, Karukera, English Harbour, Maison La Mauny, Excellence rhum, Frère de la côte, Mhoba, Clairin, Depaz, Compagnie des Indes, Navi. Au vu du nombre de maisons qui m’intéressaient je me suis finalement dit qu’il était impossible de tous les faire… Cela allait être très compliqué et je voulais profiter de cet événement pour discuter avec les ambassadeurs. 

Au premier étage je commence donc par Rhum JM. Une décoration nous transportant tout droit à Macouba ainsi que des goodies comme des chapeaux à l’effigie de la marque, des masques et des pin’s nous ont été offerts.

Lors de la dégustation ils nous ont présenté trois rhums. Le premier que l’on goûte est le « Terroir Volcanique », le nouveau rhum qui vient de sortir et qui est actuellement disponible dans toutes les grandes surfaces. C’est un rhum très intéressant au niveau rapport qualité prix, 3 ans d‘âge avec du travail sur la chauffe des fûts. Ensuite vient le tour de leur millésime 2011, vieilli pendant 10 ans, dont j’ai beaucoup aimé son côté fruit exotique à l’odeur et sa touche gourmande et puissante en bouche. Pour finir, nous goûtons le rhum haut de gamme de la marque avec le millésime 2003 vieilli pendant 15 ans, un brut de fût avec une étiquette en cuir. Un rhum très fin d’une qualité exceptionnelle, avec une odeur de fruit confit et des notes de noisettes. Au goût nous avons des notes plus gourmandes avec de la noisette, vanille et une touche finale de cacao et tabac.  

Au même étage il y avait la chambre de la Confrérie du Rhum tenue par Jerry Gitani. Par chance ils sortaient ce même jour leur cuvée chez Rhum Clément, en exclusivité pour le rhum Society. Nous avons eu la chance de pouvoir le déguster. 

Un rhum vieilli pendant 3 ans et 9 mois, avec un type de chauffe très particulier « Heavy Toast ». Limité à seulement 750 bouteilles. Un rhum très intéressant que j’ai hâte de pouvoir déguster de nouveau (oui j’avoue tout, je me suis acheté une bouteille 😉). Jerry m’a aussi fait gouter leur cuvée avec la distillerie Toucan, un rhum plutôt agréable à boire en punch. 

Continuons la visite avec la maison La Mauny. Accueil très sympathique par Jean-Philippe qui nous a présenté le VO, le VSOP et le XO. Une dégustation très agréable qui nous fait prendre conscience de la différence d’âge et de fûts utilisés.

Très intéressant, Jean-Philippe a même pris le temps de connaître notre retour sur cette dégustation, puis par la suite nous a apporté dans son petit balluchon le nouveau Millésime 2005 que La Mauny vient de sortir. Avec un vieillissement de 15 ans, c’est un rhum qui m’a beaucoup plu, très léger à l’odorat mais une bouche assez complexe qui s’exprime beaucoup. Il m’a également fait part que cette cuvée sera limitée à seulement 2005 exemplaires. J’ai hâte de voir cela, et peut être m’en procurer une bouteille. Puis nous avons terminé cette dégustation avec le GRAAL.

Il nous fait goûter la cuvée Le Nouveau Monde, un rhum d’assemblage de 12 cuvées d’exception issues de 4 millésimes : 1979, 1998, 1999 et 2004. Il explose en bouche avec une touche extrêmement gourmande et une longueur en bouche qui ne s’arrête pas ! J’adore !!! 

Au même étage il y avait Rhum Clément. Une chambre avec des oiseaux qui chantent, un tonneau, et leur gamme de 3 Singles Cask.

Un rhum monovariétal, 100% Canne bleue, limité à 608 bouteilles. Vieillissement de 4 ans et 5 mois en fût de bourbon, très intéressant avec des notes végétales que l’on retrouve (typique de la canne) mais également un côté un peu vieilli que j’aime beaucoup.

Ensuite on passe aux deux autres singles cask que l’on peut comparer. Le Moka intense, un rhum vieilli 3 ans dans des fûts de chêne roux américain avec une chauffe forte (cependant moins forte que le Vanille intense). Le Vanille Intense est un rhum vieilli 3 ans et 10 mois dans un fût d’ex-bourbon et avec une chauffe de fût très forte. A l’aveugle j’aurai vraiment dit que le Moka avait une chauffe de fût plus forte pour donner son gout de moka, café, expresso. Alors que le Vanille Intense, plus doux en bouche, donne un côté mielleux, très vanillé.

On pourrait même penser qu’il y a eu un ajout d’arôme de vanille cependant, François, l’ambassadeur de chez Clément nous a affirmé que ce goût si prononcé de vanille provenait du travail sur la chauffe du fût. 

Au 3ème étage il y avait une marque que je voulais à tout prix faire afin de discuter avec eux, goûter leurs gammes de rhums, mais pas que 😉

Je passe chez Frères de la côte avec qui je prends le temps d’échanger car ils sont très agréables et que j’aime beaucoup leur façon de penser : renouer avec les traditions. Les Frères de la côte acheminent le rhum, le café mais également le chocolat, par voie maritime dans une magnifique brigantine appelée le Très Hombres. 

La dégustation se tourne vers 4 rhums. Le premier nous vient de Palma pure bio, provenant de la distillerie Aldea au Canaries et une finition en fût de Moscatel. Ce rhum a voyagé en fair transport de Palma à Amsterdam. Je le trouve très intéressant cependant je ne suis pas très fan de son odeur.

Vient ensuite la dégustation du Rhum vieux Palma Batch 3, qui provient de la même distillerie, mais cette fois le rhum bio a connu un premier vieillissement en fût de chêne français ayant contenu du vin espagnol. Avant d’embarquer pour 6 mois en mer, le rhum a été transféré en barrique d’ex-sherry Pedro Ximenez. Il a ensuite été embouteillé brut de fût et vendu à seulement 416 bouteilles. C’est un rhum exceptionnel, j’ai eu un véritable coup de cœur !

Puis on déguste un rhum venant de Barbade, un Foursquare de 9 ans avec un vieillissement tropical de 8 ans en fût d’ex-bourbon. Il a par la suite été transféré en fût d’ex-sherry Oloroso, qui a voyagé 4 mois en mer au sein du Très Hombres. 

Pour finir ils nous ont fait goûter à leur toute dernière mixture. Une expérimentation qui sera vendue d’ici 2 à 4 mois. Un rhum de mélasse qui a été laissé macérer dans de l’orge. Oui oui vous m’avez bien entendu dans de l’orge ! Alors au nez je ne suis pas du tout conquis malheureusement, il manque quelque chose pour cacher l’odeur. Cependant au goût c’est vraiment incroyable, une véritable expérience très agréable et particulière.

Au même étage se trouve la chambre d’Excellence Rhum, que j’avais tout particulièrement envie d’aller voir. 

Ils ont dévoilé, en exclusivité, les deux prochaines cuvées embouteillées par leurs soins. Un Caroni de 23 ans, vieilli en fût d’ex-bourbon, avec une part des anges de seulement 23%. À l’odeur il a de belles notes sucrées de toffee et d’amande. En bouche on a un côté plus exotique avec la mangue, la banane et cette touche d’amande qui persiste. Je le trouve relativement léger. Ensuite Flo, le responsable de la boutique parisienne, nous sert un rhum de Trinidad, âgé de 18 ans, qui nous vient de la distillerie Angustura. À l’odeur on a une jolie touche de zeste d’orange, une note de bois précieux et de sucre. En bouche c’est une explosion de mûres qui vient titiller notre palais puis pour finir sur une note finale mentholée. J’ai eu un coup de cœur pour ce rhum, que je trouve vraiment exceptionnel tant par son goût que par son odeur. Un rhum dont la bouteille risque de partir très très vite. Si quelqu’un veut me l’offrir, surtout n’hésitez pas 😉 

 

Le temps file et il me reste encore un peu de temps, du coup je pars rendre visite à la Compagnie des Indes, cet embouteilleur indépendant français que j’adore.

A l’occasion du Rhum Society ils nous proposent 3 nouveautés : un Australia, 7 ans en finish Sherry ; un rhum très léger dont je trouve qu’il manque un peu de peps.

Ensuite on passe sur la dégustation d’un blend appelé Barbagaya, de 14 ans, que je trouve vraiment très intéressant. Un rhum de Foursquare pour la Barbade et Diamond pour la Guyane, donnant un blend très gourmand. J’aime beaucoup ce blend, mais très léger.

Après Alexandre, l’ambassadeur de Compagnie des Indes, nous fait goûter au single cask. Un Jamaica de 8 ans qui nous vient de chez Clarendon (vous connaissez mon amour pour les rhums jamaïcains et celui-ci je l’adore !). 

J’étais obligé d’aller voir mon copain de chez Navi rhum, une marque créée par Baptiste Bochet et Alexandre Beudet. Ils viennent tout juste de sortir 2 blends.

Le premier Cassiopée, dont le nom est tiré de la mythologie grecque, est un blend de rhums vieillis qui nous viennent de la Barbade, Jamaïque et de Martinique. Un blend plutôt intéressant que j’aimerais bien prendre le temps de déguster de nouveau et un peu plus en profondeur. C’est un rhum assez complexe mais reste cependant ouvert à tous les palais !!

Le blend suivant s’appelle Andromède, toujours dans la mythologie grecque, est un assemblage de vieux rhums mais qui nous viennent cette fois ci de la Barbade, Jamaïque, Martinique et de Guadeloupe. Un assemblage que j’apprécie tout particulièrement. Je reconnais vraiment les marqueurs qui sont très intéressants et c’est vraiment délicieux. Ce sont deux blends qui sont destinés pour être dégustés purs mais fonctionnent tout aussi bien en cocktail.

J’aimerais bien tester ces blends en cocktail, réalisés par Baptiste pour voir ce que cela peut donner.

Ensuite Baptiste m’a amené voir Steeve, qui a créé en 2016 sa marque de planteur artisanale appelée On Ti Dousé. Ses recettes artisanales proviennent de sa mère. Vraiment très gentil, sans parler de la dégustation qui fût exceptionnelle !

On a commencé par déguster le Planteur Prestige, un planteur à base de rhum agricole de Guadeloupe. Je le trouve juste exceptionnel ! Avec ses épices, son goût de fruits exotiques, ce nectar me projette dès la première gorgée directement en Guadeloupe !

Ensuite Steeve nous fait découvrir une douceur arrangée plutôt atypique d’un mélange Hibiscus Yuzu. Etrangement cette combinaison fonctionne super bien. Je dois avouer que j’étais plutôt réticent avec le yuzu, car très puissant en bouche, mais finalement il s’intègre avec délicatesse. On commence en bouche par le yuzu et on termine avec une note finale d’hibiscus. C’est vraiment délicieux. Vient ensuite la dégustation d’une douceur arrangée, Piment, dont la couleur est d’un sublime ambré.  Steeve nous explique qu’il a choisi de mettre du piment végétal qui donne un très bon goût. On a des saveurs de cannelle, d’épices et d’une très légère touche de piment.  Pour finir Steeve a voulu me faire goûter trois petites choses, des futures douceurs qui vont sortir.

Le premier, une Douceur arrangée Café/Vanille, où il m’explique qu’il a essayé 13 cafés différents pour s’arrêter ensuite sur 4 cafés et finir sur 1 café mexicain torréfié en France. Il sort normalement cette semaine ou la semaine prochaine en collaboration avec Les Épicuriens du Rhum. Le goût est délicieusement bon, le mélange très doux entre le café et la vanille, donne une combinaison qui fonctionne à la perfection. J’ai également eu la possibilité de déguster une douceur arrangée vanille qui devrait normalement sortir d’ici la fin de l’année. 

On a terminé sur un Shrub, qui devrait sortir en hiver, afin de respecter la saisonnalité du fruit principal qui est l’orange. Je le trouve vraiment très bon, bien épicé, un bon goût de zeste d’orange bien mûre. Je ne l’ai pas spécialement trouvé très sucré mais Steeve m’a informé qu’il allait baisser le taux de sucre, le trouvant encore trop sucré à son goût. Je ne connaissais pas du tout On Ti Dousé et ce fut une superbe découverte pour ma part. Je vous conseille vivement ses Arrangés. Tout y est, le goût, le rapport qualité prix très correct au vu de la qualité. Foncez vous prendre une bouteille !! 

Je souhaitais également passer voir Famille Ricci afin de pouvoir goûter aux 3 blends qu’ils ont réalisés en collaboration avec l’équipe du bar 1802, ainsi que les 3 singles casks sélectionnés par Adrian et Chris du Bar 1802. Nous commençons la dégustation par les 3 blends réalisés par Famille Ricci. Le premier, Mondego, est un assemblage de Foursquare et d’une distillerie du Nicaragua. Le second, le Danglars, est un assemblage de Clarendon et de Foursquare que je trouve vraiment très bon. Pour vous expliquer mon ressenti en bouche, on à le goût des marqueurs du Foursquare tout le long, mais également des claques de Clarendon. C’est vraiment très impressionnant, je crois n’avoir jamais goûté un blend me faisant cet effet-là. Le troisième, le Villefort, est un assemblage de Clarendon et Nicaragua. Cependant le second m’a vraiment le plus marqué de cette dégustation 😉

Nous nous sommes rendus avec Chris dans la chambre d’à côté, où il m’a fait goûter les 3 singles casks qu’ils ont sélectionnés avec Adrian et que Famille Ricci utilise pour créer leurs assemblages. Le premier, Dantès, un rhum de Nicaragua de 17 ans et d’une distillerie secrète. Je l’ai trouvé plutôt boisé avec de légères notes gourmandes de caramel et légèrement vanillé. Le second, Simbad, est un rhum de Barbade provenant de la distillerie Foursquare. Âgé de 11 ans, on retrouve les notes caractéristiques de la Barbade de noix de coco et de café. Je me pose cependant la question concernant le fût utilisé et plus particulièrement sur la chauffe de ce dernier car il y a des notes qui me trompent. J’essayerai de le déguster de nouveau une prochaine fois car je dois vous avouer que mon palais commence à saturer avec toutes ces dégustations. Pour finir, le Wilmore, un rhum de Jamaïque provenant de la distillerie Clarendon, âgé de 14 ans que j’adore ! 

Dring Dring, c’est enfin l’heure pour moi de partir, mais avant de rentrer sous le temps pluvieux parisien je file au bar caché. Juste avant nous avons eu le droit à un petit jeu du Rhum Club Paris, une dégustation à l’aveugle dont le but est de découvrir l’intrus afin de gagner l’accès à la dégustation du prochain embouteillage du RCP.  

Nous avons eu le choix entre deux dégustations à l’aveugle. Le premier sur le thème du « blanc », nous avons eu 3 rhums agricoles. L’intrus était l’alambic utilisé (A1710 La perle (intrus), Chantal Compte Fighting Spirit Gold (Habitation du Simon/HSE), Montebello « Ovation »). L’autre thème était « mélasse vieux », comprenant 3 rhums de mélasse dont deux de types anglais et un type hispanique (Old Brothers Foursquare West Indies Batch 2, Mezan République dominicaine (Intrus) et le Chairman’s Reserve 1931).

J’aurais préféré prendre celui sur les Rhums agricoles car je m’y connais un peu plus, cependant trouver la différence d’alambic je ne le sentais pas du tout… Vous auriez choisi quoi à ma place ? J’ai finalement opté pour le thème « mélasse vieux ». En goûtant, le premier ne me fait pas du tout penser au goût d’un hispanique, le deuxième en revanche à un goût très reconnaissable. Je déguste le troisième que je trouve très perturbant car il a un goût de finish porto qui me déstabilise énormément. Je me dis que ce dernier est hispanique avec un fût ex-porto afin de renforcer le goût. Après plusieurs hésitations entre le 2 et le 3, je tranche finalement sur le 3… Raté ! C’était finalement le 2. J’aurai dû rester sur ma première intuition !    

Je vous ai mis les références des rhums utilisés si vous souhaitez réaliser ce petit jeu entre amis ou amateurs de rhum. 

Nous voici enfin au bar caché où Thibaut et Adrian sont là pour réaliser un cocktail avec un Ron de chez Eminente.

Nous avions le choix entre 3 saveurs : ananas, banane ou pollen.

J’ai donné carte blanche à Adrian, son choix s’est porté sur le cocktail au pollen.

Sortez les mouchoirs car vous allez saliver quand je vais vous dire ce qu’il y avait dedans. Ce cocktail est à base de Rhum Eminente Ambar Claro infusé à la cire d’abeille, eau de miel rectifié, cordial de miel de châtaignier, olorosso… une véritable petite merveille. 

Après ce cocktail c’est donc la fin de ce Rhum Society, mais avant de quitter les lieux petit passage obligé à la boutique Excellence rhum pour acheter quelques bouteilles (promis j’ai été raisonnable…).

J’ai acheté pour la fête des pères un Saint James Brut de colonne, le rhum Clément sélection exclusive confrérie du rhum ainsi que deux On Ti Dousé (Planteur prestige et Piment).

Et bien évidemment retour en métro, ne surtout pas reprendre le volant après toutes ces dégustations. 

Le Rhum Society est selon moi un événement à faire absolument. C’est très intimiste, le cadre est vraiment très beau. Il y a peu de personnes dans les chambres, on peut déguster de nouvelles cuvées avec les ambassadeurs des marques présentes et ainsi leur partager nos impressions. Il y a un grand choix de distilleries, dont certaines que nous n’avons pas forcément l’habitude de déguster ou que nous ne connaissons pas encore et l’ambiance est très conviviale. Si vous êtes passionnés de Rhums vous rencontrerez des personnes partageant la même passion que vous. L’un des avantages également est de pouvoir goûter des rhums de distilleries que l’on aime mais dont il ne nous est pas forcément possible d’acheter une bouteille à cause de son prix ou de sa rareté.

Pour finir je voulais remercier l’équipe du bar 1802, mais également l’Hôtel Monte Cristo pour le travail effectué, c’était vraiment super.

Vivement la prochaine édition !

Cheers 🥃

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